L’année 2020 a fait réaliser l’urgence d’adresser nombre d’enjeux.
Des enjeux de dimension sociale d’abord, avec le 1er confinement, une solidarité sans précédent, de tous et à tout niveau s’est formée.
Les entreprises se sont mobilisées massivement dans un élan spontané pour apporter des solutions aux urgences rencontrées.
On se souvient de la production de gel hydroalcoolique, de masques… également un nombre important d’initiatives s’appuyant sur la Tech pour faciliter les prises en charge des malades, l’organisation dans les hôpitaux.
De la même manière des solutions ont été développées au pied levé avec l’aide de startups, pour maintenir l’aide apportée par les associations aux personnes fragiles et isolées.
Cette période difficile pour tous, s’est donc avérée être le révélateur de la nécessité de répondre aux besoins de transformation numérique et d’organisation opérationnelle pour le monde de l’entreprise comme celui de l’intérêt général.
Elle a également mis en lumière le travail formidable et indispensable du secteur associatif d’une part et l’aide que peuvent lui apporter les acteurs tech et digitaux pour optimiser leur actions, d’autre part.
En parallèle, les défis environnementaux en toile de fond depuis de nombreuses années déjà, sont plus que jamais au centre des préoccupations. L’urgence est réelle et quelques réponses commencent à émerger. Il est important d’embarquer au plus tôt sur ces sujets les acteurs tech afin que les solutions que les jeunes pousses apportent aujourd’hui ne deviennent pas les problèmes de demain. En effet, le numérique est un vrai sujet environnemental.
La French Tech l’a bien compris et a lancé French Tech For The Planet pour accompagner des projets visant à la transition écologique.
Mais sur le modèle de Tech For Good, ce dispositif est à destination des acteurs qui ont fait de l’impact leur ADN.
Il faut alors embarquer plus largement !
A l’instar de France Digitale avec sa task force Impact c’est l’ensemble des protagonistes de la tech qu’il faut mobiliser et sensibiliser.
En leur donnant les outils pour faire leurs premiers pas dans l’impact quel que soit leur activité et leur moyen.
La fin de la politique de l’autruche.
Les clients, collaborateurs, partenaires et l’ensemble de l’écosystème sont de plus en plus soucieux des défis sociaux et environnementaux et opèrent des choix en ce sens.
Les obligations RSE se multiplient pour les entreprises de plus de 500 salariés ou 100M€ de CA.
La loi PACTE vient même modifier le Code Civil et le Code du Commerce en apposant à la définition de société « une gestion qui considère les enjeux sociaux et environnementaux » et prônant le partage de la valeur créée par l’entreprise (art 1835 du code civil).
Le temps d’agir est bel et bien là !
Dans ce contexte d’urgence, il est indispensable de faciliter les premiers pas des entreprises qui n’ont pas l’impact positif en ligne de mire mais qui ont dès maintenant envie de contribuer positivement. Mais aussi de celles qui souhaitent simplement anticiper ce qui sera incontournable demain, surtout si elles ont de l’ambition !
En effet, si le succès est au rendez-vous, l’impact, la RSE et globalement une gestion qui crée et partage sa valeur ne pourront plus être considérés comme de vagues notions. Les entreprises devront l’ancrer dans leur fonctionnement, leur business model, leur management…
Adopter une démarche responsable au plus tôt leur confère donc une posture de leadership et rassurera sur leur valeur et leur sincérité quand les actions deviendront des obligations.
Mais comment faire quand on n’est pas un géant de la Tech qui peut faire de gros chèques à des associations, ou lancer des chantiers colossaux pour réduire son empreinte écologique ?
C’est à cette question que répond Cgood.co. En donnant l’opportunité aux acteurs tech et digitaux (et même cabinets de conseil et agences marketing / communication) de pouvoir soutenir ces enjeux au travers d’actions concrètes. En effet, tout comme les entreprises, les associations qui œuvrent à relever les défis sociaux et environnementaux, ont sans cesse besoin de se transformer et d’évoluer pour maintenir leur niveau d’impact dans un monde où tout change très vite.
Le mécénat en actions avec Cgood
Grâce à Cgood.co, initiative accompagnée par Accenture, le Groupe SOS Pulse et Le Mouvement Up, les entreprises peuvent facilement apporter leur soutien aux structures d’intérêt général, en répondant à leur besoin de transformation et d’adaptation. Et c’est très simple ! Il lui suffit de mettre à disposition d’une association qui en a besoin, ses capacités grâce à un don de son produit ou de ses prestations.
Une réelle occasion, simple et accessible de se lancer sur la voie de l’impact positif, d’incarner ses valeurs et sa responsabilité.
C’est aussi une belle opportunité d’élargir son réseau, de tester ou détecter de nouvelles fonctionnalités en sortant de son utilisateur cible habituel tout en mobilisant ses collaborateurs en équipe sur un projet qui a du sens. Et ce qui ne gâte rien, ces actions sont, selon les cas, éligibles au titre du mécénat et ouvrent donc droit à une réduction fiscale (reportable 5 ans) au même titre qu’un don d’argent.
Ophélie Le Moigne – Fondatrice de Cgood | Chief Giving Officer On Demand
Après une quinzaine d’années passées en grands groupes, au marketing, stratégie et commercial, Ophélie Le Moigne fonde deedon.org qui transforme les cartes cadeaux non dépensées en dons pour des associations. Elle fait alors ses premiers pas dans l’entrepreneuriat grâce au soutien de Makesense, La Ruche puis du Schoolab. Immergée dans cet écosystème startup et convaincue que pour durer un business doit être durable à tout point de vue : environnemental comme social. Elle décide alors de trouver et créer une solution pour démocratiser l’impact positif des entreprises : Cgood.
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