Pour illustrer la capacité offerte à chacun de choisir des solutions numériques souveraines, nous avons choisi de mettre en lumière un projet mené au sein d’institutions publiques Suisse, par Simple CRM.
L’objectif : illustrer de manière concrète la possibilité pour une organisation publique de se détacher d’un acteur américain majeur en un délai particulièrement court.
Innovaud et le Service de la Promotion de l’Économie et de l’Innovation (SPEI), deux entités centrales du dispositif de soutien aux entreprises du canton de Vaud, ont récemment conduit une transition complète de leur système de gestion de la relation usager.
Soucieux de renforcer leur autonomie technologique, de simplifier leur environnement applicatif et d’optimiser leurs coûts d’exploitation, ils ont opté pour une solution européenne, Simple CRM, en remplacement de Salesforce.
Dans l’échange vidéo proposé par Brice CORNET, Jean-Michel Stauffer, responsable opérationnel de cette migration, revient en détail sur le déroulement de cette démarche.
Il y expose notamment :
- les limites rencontrées avec leur solution précédente et les raisons qui ont motivé le changement ;
- l’organisation méthodologique adoptée pour mener le projet dans un calendrier resserré ;
- les éléments fonctionnels et techniques qui ont présidé au choix de Simple CRM, y compris l’intégration d’outils d’aide à la décision et de capacités d’automatisation avancées ;
- les travaux réalisés en matière de gouvernance et de valorisation des données, ainsi que l’accompagnement des équipes impliquées ;
- les impératifs réglementaires liés à la protection des données et à l’hébergement en Europe ;
- les réactions internes, les ajustements nécessaires et les observations tirées de l’usage quotidien ;
- les améliorations constatées dès la mise en œuvre, notamment en matière de qualité des informations, de coordination et d’efficacité opérationnelle.
Ce retour d’expérience offre un éclairage pertinent pour les institutions publiques et les grandes organisations souhaitant réévaluer leur dépendance aux solutions extra-européennes et envisager des alternatives alignées avec les exigences actuelles en matière de souveraineté numérique.
Il s’adresse à toutes les structures désireuses de concilier performance, maîtrise des données et conformité aux standards européens.










